Le
pic maximal du pétrole et les évènements du 11/09
Après Mickaël Moore et son film 11/9, le journaliste américain
Michaël Ruppert analyse et accuse.
Enfin, journalistes américains et institutionnels commencent à sortir de la langue de bois à propos des évènements du 11 septembre. Devant le prestigieux Commonwealth Club, a été prononcée le 31 août dernier une éclatante confirmation de ce que nous écrivions dès le 25 septembre 2001 : oui, le groupe de terroristes internationaux qui a pris le contrôle des institutions démocratiques de l'État Américain est bien responsable, commanditaire et auteur des attentats criminels du 11 septembre.
M. Dick Cheney est considéré par Michaël C. Ruppert comme le suspect N° 1 dans cette affaire criminelle. À quand un mandat d'arrêt international ? Les victimes américaines ont de bons avocats et devraient bien finir par y arriver.
Les plumitifs des marchands d'armes français ("les journalistes" dit-on encore ici par habitude) feraient bien de comprendre ce qui est en train de se passer : ils ne vont pas tarder à avoir l'air totalement ridicules. Car eux aussi, tout comme Bush et ses sbires, nous mentent depuis le 11 septembre 2001.Messieurs les journalistes français, vous allez être bientôt très mal dans cette affaire. Et ce ne sont pas vos médiocres articles de ces dernières semaines pour tenter de nous convaincre que, oui, oui, tout est bien comme on l'a dit, qui vont arranger vos mensonges. Car vous ne vous êtes pas trompés, non, vous nous avez menti depuis le début : car, tout comme l'ensemble des élites politiques, vous savez depuis bien longtemps.
Que les politiques, pour des raisons diplomatiques, prennent leur temps avant de parler, cela peut se comprendre. Que les journalistes nous trompent comme de vulgaires propagandistes à la solde des terroristes, cela commence à poser problème dans une démocratie.
Christian Cotten - 29 09 04
A lire en complément sur le site Politique de Vie
L'article de Christian Cotten "Guerre, mode d'emploi" paru le 21 septembre 2001 et qui est aujourd'hui très largement confirmé par les propos de Michaël C. Ruppert.
Ainsi que notre pétition "Faire comparaître Georges W. Bush devant la Cour Pénale Internationale de La Haye pour crime contre l'humanité" lancée le 11 septembre 2002 qui reste complètement d'actualité pour soutenir le travail des démocrates américains : les victimes du 11/O9 réussiront sans doute à faire avancer ce projet et ont donc besoin d'un maximum de soutiens.
Nouveau, au 1er octobre. Une vidéo américaine très bien ficelée qui démontre très clairement qu'aucun avion n'est tombé le 11/09 sur le Pentagone : les immeubles et les pelouses ne mangent pas les Boeing qui se crashent... Par contre, un missile perfore très efficacement les murs en béton blindé comme ceux du Pentagone... À voir absolument si l'on veut comprendre l'arnaque du 11/09. Pour y accéder, recopier l'adresse suivante sur votre navigateur : pour des raisons techniques obscures, le lien n'a pas pu être établi sur notre site.
http://www.elchulo.net/files/pentagon.swf
Le
pic maximal du pétrole et les évènements du 11/09
Extraits choisis traduits du discours du journaliste
et conférencier
Michaël C. Ruppert
pour le Commonwealth Club à San Francisco le 31 août 2004
Source : http://www.fromthewilderness.com
Traduction de Frédéric Morin
Publié dans le journal Morphéus de fin octobre 2004 (site : http://www.morpheus.fr)
Je ne suis pas le seul à affirmer que les attaques du 11 septembre ont été facilitées, orchestrées et réalisées par le gouvernement des État-Unis. Cependant, il y a beaucoup de malentendus. En tant qu’ancien officier de police, détective et à présent journaliste je m’en tiendrai aux strictes normes probatoires d’investigations. M.C. Ruppert
J'affirme catégoriquement que les politiciens qui ne s’attaquent
pas aux causes réelles des problèmes posés aux USA aujourd’hui
ne pourront être et ne seront jamais à l’avenir de grands
leaders politiques.
J’ai toujours dit que, si j’en avais la chance, je marcherais dans
le repère du lion ou dans la chambre à coucher du diable pour
défendre ma cause et c’est ce que je fais aujourd’hui, ici.
Je peux voir, ce soir, une part des élites dont la conscience et le comportement
doivent être changés afin que l’humanité puisse affronter
les défis cuisants de notre époque.
Pour quiconque qui pourrait être lion ou diable, j’espère
qu’il a fait un bon repas récemment et en outre que vous avez vérifié
vos fourches à la porte. En outre, j’implore que vos oreilles et
vos esprits soient ouverts. Vous réalisez qu’une crise mondiale
enténèbre la planète entière et si vous souhaitez
mieux comprendre cette crise, je suis ici pour offrir une part de mon expérience
sans aucune complaisance ou allégeance à une politique partisane
ou à quelques intérêts économiques que ce soient.
Quelle que puisse être l’approche de la situation globale, que ce
soit la géopolitique, l’économie, le climat, la guerre,
les aérosols dispersés, les ogives de guerre qui menacent de lâcher
une orgie mondiale d’effusion de sang, la hausse du prix de l’énergie,
les manques d’énergies, les manques d’eau douce, la guerre
biologique, la répression des libertés civiles, une conclusion
commune saute aux yeux : la planète Terre et tous ses habitants sont
en grand danger. Ce n’est pas le temps de penser à la sécurité
nationale, c’est le temps de penser à la sécurité
planétaire. C’est la survie de la planète qui est en jeu.
Indépendamment de la religion, de l’appartenance ethnique, de la
nationalité, de la race, des préférences sexuelles, du
compte bancaire ou de n’importe quelle autre distinction artificielle,
je peux être celui qui "ose" parler pour toute l’humanité.
Le temps n’est plus à la timidité révérencieuse.
Ce n’est pas une époque ou des hommes et des femmes de bonne conscience
peuvent se permettre d’être politiquement corrects.
Comme je l’ai dit tant de fois pendant ces trois dernières années
au cours de 40 conférences sur la vérité et les mensonges
du 11/09 et le pic maximal du pétrole, les événements
dans les cinq ans qui suivent les attaques du 11 septembre détermineront
le cours de l’histoire de l’humanité pour les 500 années
à venir ou plus.
Depuis de nombreuses années maintenant, des citations et des preuves
ont été présentées dans mes conférences et
ma vidéo "Vérité et Mensonges sur le 11/09".
Je ne demande pas que les gens me croient sur parole, je demande que des experts
continuent à me défier s’il le faut en évaluant mes
recherches, travaux et documents accumulés toutes ces années afin
qu’ils puissent en tirer leurs propres conclusions. À ce jour le
sérieux et la crédibilité de mes travaux m’ont ouvert
les portes du Commonwealth Club.
Je ne suis pas le seul à affirmer que les attaques du 11 septembre
ont été facilitées, orchestrées et réalisées
par le gouvernement des État-Unis. Cependant, il y a beaucoup
de malentendus. En tant qu’ancien officier de police, détective
et à présent journaliste je m’en tiendrai aux strictes normes
probatoires d’investigations.
Les attaques du 11/09 sont le résultat de la planification délibérée et d’efforts orchestrés par des leaders identifiables aux USA. Le gouvernement et les groupes de l’énergie et de la finance ont tout fait pour obtenir une attaque comme celle de Pearl Harbor qui puisse fournir à l’empire américain un prétexte pour la guerre, l’objectif étant la confiscation des réserves de pétrole et de gaz et de la clé des voies de transport par oléoduc.
Le 11/09 a été un meurtre prémédité. Je nommerai ce soir certains des suspects qui ont commis le crime. Je vous montrerai l’évidence accablante de leur culpabilité, ce dont je suis fier. Je suis prêt et confiant pour répondre devant un procureur ou un jury de district.
Historiquement, l’affirmation que le gouvernement des
États-Unis serait capable d'orchestrer une attaque contre des intérêts
américains a plusieurs précédents. En 1962 déjà,
les chefs interarmées avaient approuvé un plan secret appelé
"Opération Northwoods" qui était une opération
secrète pour abattre un avion américain et lancer une attaque
contre des équipements militaires américains, avec l’intention
de rejeter le blâme sur Fidel Castro, incitant ainsi les États-Unis
à envahir et occuper Cuba.
Il en fut de même pour Pearl Harbor dont les dates et plans d’attaque
étaient connus de Roosevelt lui-même ; l’histoire
fournit aujourd’hui aux USA une documentation abondante sur la complicité
du gouvernement américain à des degrés variables dans de
tels événements. Le livre "Le jour de la duperie" et
d’autres enregistrements aux archives nationales ont prouvé aux
USA que l’administration Roosevelt avait bien déchiffré
les codes japonais avant le 7 décembre 1941 et que la décision
de laisser faire l’attaque sur Pearl Harbor a été prise
en toute conscience. Cette décision a été mise en place
pour fournir l’impulsion nécessaire à l’entrée
en guerre des USA, à un moment où la Grande-Bretagne faiblissait
sous les bombardements et la guerre navale du Troisième Reich.
Le livre que je vais publier, "Traverser le Rubicon", pénètre
les arcanes les plus secrètes des attaques du 11 septembre 2001. Il place
le 11/09 au centre d'une nouvelle Amérique désespérée,
menée par des individus spécifiquement nommés pour gérer
le pic maximal du pétrole (insuffisance mondiale des stocks de pétrole
et déclin naturel de la production de pétrole) : une crise économique
comme le monde n’en a jamais vue.
La demande en hydrocarbures des USA, des pays industrialisés et des pays
en voie de développement accélère rapidement l’arrivée
du pic maximal de pétrole, point de non retour pour cette ressource limitée.
L’impact économique et environnemental deviendra insoutenable dans
les trois années à venir. Étant donné les choix
peu judicieux des 30 dernières années, une fin brutale de l’ère
du pétrole constitue la plus sérieuse menace pour l’humanité
dans toute son histoire.
La planète Terre est à plus ou moins un an de la crête
de toute l'histoire de la production énergétique des hydrocarbures.
Plus simplement, nous avons utilisé la moitié du pétrole
que Dieu a placé dans cette planète ; chaque baril extrait dorénavant
à partir de la Terre deviendra progressivement plus cher, de moindre
qualité et beaucoup plus dur à obtenir. Comme en conviennent tous
les experts, le pic est quelque chose que nous validerons comme une certitude
quand nous le regarderons dans nos rétroviseurs.
Les attaques du 11 septembre 2001 ont été le prétexte
pour l’empire américain et à un degré moindre pour
la Grande-Bretagne et pour Israël, de s'emparer par la force des sources
d'approvisionnements en énergie, pour soutenir leur puissance
hégémonique (régionale ou mondiale) et maintenir l’équilibre
de leur économie dans les prochaines années de pénurie.
Les attaques du 11/09 ont été accomplies avec une orchestration
étonnante de logistique et de personnels. L’ancien conseiller
du contre-terrorisme à la Sécurité Nationale, Richard Clarke,
a suggéré qu’une telle conspiration ne pourrait jamais être
maintenue secrète. Trop de gens auraient été impliqués,
a-t-il dit. Sur ce point, je suis complètement en désaccord avec
Clarke et je rappelle le projet Manhattan qui a développé la bombe
atomique et le projet de l'avion furtif, dont le secret a été
gardé avec succès pour tous les deux. Le nombre de personnes impliquées
dans ces deux projets a de loin dépassé le nombre de personnes
utilisées par le gouvernement des États-Unis pour exécuter
le 11/09.
Rien dans la prétendue commission indépendante, la Commission
Kean, qui a étudié les attaques du 11 septembre, ne peut ou ne
devrait être accepté sans un débat contradictoire. Cette
commission reprend la chronologie des événements publiée
par le Norad (armée de l'Air). Or, plusieurs témoignages faits
devant la Commission démentent cette chronologie.
La chronologie officielle indiquait que la FAA (surveillance aérienne)
avait sollicité le Commandement de l’Armée de l’Air
pour une aide militaire alors que trois avions commerciaux de ligne piratés
étaient toujours en vol. Des témoignages devant la Commission
affirment au contraire que la FAA n’a informé l’armée
de l’air qu’après que les avions se soient écrasés.
Un escadron d’avions de combat du Norad est en effet bien parti mais il
a été envoyé au dessus de l’Océan Atlantique
à plus de 200 km à l’Est de Washington DC, alors que le
troisième engin heurtait le Pentagone. Un second escadron était
sur l’Alaska pendant qu’un troisième sillonnait au dessus
du Canada. Devant de telles incohérences, il est certain que les militaires
ont menti aux Américains, menti au Congrès et menti à la
Commission du 11/09.
Le rapport de la Commission a été remanié pour tenter de
maquiller au mieux toutes ces incohérences chronologiques et montrer
au public une version édulcorée. Pourquoi tant de partialité
? C’est assez simple à comprendre quand on étudie le curriculum
vitae des membres de cette commission.
Les membres de la commission indépendante
d’enquête sur le 11 septembre
Thomas Kean (Président) est aussi
directeur et actionnaire d’Amerada Hess Corporation, en lien avec la Delta
Oil of Saudi Arabia détenue par les clans de Ben Khalid Mahfouz et de
Al-Amoundi. Cette compagnie a été impliquée dans la planification
et la mise en œuvre d’un pipe-line de pétrole afghan, juste
avant le 11 septembre. Khalid Ben Mahfouz, autrefois haut dirigeant de la légendaire
banque du crime organisé BCCI, est le plus grand banquier de l’Arabie
Saoudite et ses clients comprennent la famille royale saoudienne et le groupe
des compagnies du saoudien Ben Laden.
Il est à noter que Georges W. Bush a été en affaire avec
Khalid Ben Mahfouz quand il était dans les affaires de pétrole
au Texas. Khalid Ben Mahfouz et Georges W. Bush ont été également
impliqués dans le scandale de la BCCI étroitement lié au
scandale de l’Iran-Contra et à ceux de l’Épargne et
des Prêts. D’autres liens entre Bush et Mahfouz peuvent être
trouvés par leurs investissements dans le groupe Carlyle, une société
américaine de placements de valeurs mobilières contrôlée
par un conseil dans lequel siégeaient autrefois l’ancien président
Georges H.W Bush et des membres de la famille Ben Laden.
Lee Hamilton (vice-président).
En 1987, le porte-parole Jim Wright (qui a démissionné plus tard
de la Chambre dans le déshonneur) a nommé Hamilton à la
présidence d’une Commission d'Enquête sur l’affaire
Iran-Contra. Lorsqu’une question a été soulevée au
sujet de la contrebande de drogue CIA/Contra, la réponse a été
rejetée par Hamilton, lors d’un examen superficiel qui a conclu
qu’il n’y avait là aucune charge. La CIA a publié
un rapport en octobre 1998 (Volume II du Rapport de l’Inspection Générale
de la CIA sur le trafic de drogue Iran/Contra). Celui-ci n’a reçu
presque aucune publicité mais il a pourtant admis le lien avec la drogue
et la participation directe de la CIA dans le transbordement de milliers de
kilos de cocaïne.
Hamilton a aussi joué un rôle majeur dans la prétendue surprise
d’octobre 1980-81 dans laquelle il a été démontré
que l’équipe de campagne de Reagan-Bush était en pourparlers
secrets avec le gouvernement révolutionnaire d’Iran pour retarder
la libération des otages américains détenus à l’ambassade
des Etats-Unis à Téhéran. Le contrat était que les
otages ne seraient libérés qu’après l’élection
présidentielle, de sorte que Jimmy Carter ne bénéficie
pas de cette libération pendant la campagne présidentielle.
Dans l’affaire Iran/Contra, des armes avaient été fournies
au gouvernement iranien en échange de sa coopération. L’affaire
fit scandale et donna lieu à des auditions au Congrès qui furent
présidées par le démocrate Hamilton. Ce dernier fut nommé
plusieurs fois président ou vice-président de Commissions pour
étouffer des affaires touchant au trafic d’armes et de drogues
; c’est un spécialiste du genre, soutenu aussi bien par John Kerry
que Georges W. Bush.
Philip Zelikow (Directeur exécutif)
Zelikow a conseillé l’administration Bush sur les nouveaux plans
des services de renseignement. Il eut de nombreuses discussions au sujet de
Ben Laden et d’Al-Quaïda en 2000-2001 avec Richard Clarke. En toute
logique, il devrait être un témoin attestant sous serment devant
cette Commission au lieu d’en être le Directeur Exécutif.
Quand plusieurs familles de victimes du 11/09 ont appris cela, elles ont demandé
sa démission. Malgré toutes les appels à démission,
Zelikow est resté solidement en place dans la Commission Kean.
Jamie Gorelick
Jamie Gorelick a des liens avec le lobby pétrolier dans des sociétés
de forage. Mme Gorelick siège dans le conseil d’administration
de la première société d’extraction de pétrole
au monde, Schlumberger. Gorelick était parmi les quatre membres de la
Commission autorisés à consulter les dossiers présidentiels
du renseignement.
Richard Ben-Véniste
Ben-Véniste est un mandataire très en vue à Washington
et un courtier du pouvoir démocrate. Il était avocat conseil au
Sénat dans les investigations de Whitewater où il a bloqué
les enquêtes du dossier Webster Hubbell's impliquant un certain Truman
Arnold (qui se trouve être un ami de Wally Hilliard, propriétaire
de l’école de pilotage en Floride où, selon les comptes-rendus
officiels, ont été formés quatre des pilotes islamistes
des missions kamikazes des terroristes du 11 septembre 2001).
La Commission Kean a délibérément été constituée
de personnalités impliquées dans les événements
de 11/09 et les organismes gouvernementaux chargés de protéger
les Américains ce jour-là. Tous auraient dû témoigner
plutôt que de diriger et rédiger les rapports d’une telle
commission. Un seul membre était vraiment impartial : il s’agit
d'un sénateur de Georgie, Max Cleland. Après avoir déclaré
que tout cela était une vaste mascarade, il a démissionné
de la commission Kean avant la fin des investigations.
Que c’est il passé le 11
septembre 2001 ?
Nous allons démontrer qu’un suspect (ou plusieurs) possédait
les moyens, les motifs et l’opportunité de commettre le crime.
Jusqu’ici, l’affaire du 11/09 aurait été commise par
Oussama Ben Laden et Al-Quaïda. Cela n’a jamais été
prouvé. En fait, environ 35 mois après les attaques du 11/09,
de toutes les poursuites judiciaires dans le monde concernant cette affaire,
aucune n’a abouti.
La seule affaire qui aurait dû aboutir fut la poursuite judiciaire allemande
contre Monir el Motassadeq, chargé de faciliter la prétendue cellule
de Hambourg appelée du nom de Mohamed Atta. La Justice allemande a dû
abandonner ses poursuites en 2004 car le gouvernement US a refusé de
produire les témoins principaux tels que Khalid Shaihh Muhammad ou Ramzi
Ben al-Shibh et d’autres évidences et preuves matérielle.
Pour le grand public et la communauté officielle des investigateurs du
11/09, l’échec des moyens de défense aérienne des
USA est un mystère. La Commission Kean et la version gouvernementale
des événements ne laisse apparaître aucune explication plausible.
Le fait qu’aucune défense aérienne efficace ne se soit manifestée
ce jour-là reste incompréhensible…
Des preuves incontestables démontrent la complicité directe du
gouvernement US dans la gestion des attaques du 11 Septembre 2001. Ces éléments
figurent en détail dans mon livre "Traverser le Rubicon".
1°) Cheney est le principal suspect dans les meurtres de masse du
11/09. J’affirme qu’il a été un planificateur
du 09/11 et que le jour même des attaques il gérait un
centre de contrôle totalement séparé du système de
commande et de communications militaires et capable de brouiller les
communications et ordres émanant d’autres centres de commandement.
Pour parvenir à ses fins, il a relié un système de communication
au central principal des services secrets américains, dans le Centre
de Secours des Opérations Présidentielles – le bunker où
lui et la conseillère à la Sécurité Nationale, Condolezza
Rice ont soi-disant été précipités après
que le vol 175 ait frappé la tour Sud du World Trade Center - . Je démontrerai
qu’en réalité Cheney n’a jamais quitté ce poste
et qu'il avait des informations en temps réel aussi bonnes que celles
disponibles au Pentagone.
2°) Je démontrerai cela en expliquant ce que sont les Services
Secrets des Événements Spéciaux de la Sécurité
Nationale Américaine, une agence de contrôle opérationnel
suprême supplantant d’autorité toutes les agences civiles
et militaires.
3°) J’établirai qu’en mai 2001, par décret
présidentiel, Cheney a été placé au commandement
et au contrôle directs de toutes les formations de stratégies
militaires, des terrains d’exercices d’entraînement et de
l’établissement du programme de plusieurs agences, particulièrement
la Fema. Qu’en outre, il a ordonné tous les exercices militaires
aériens incohérents du 11 Septembre 2001.
Je démontrerai que l’exercice Trépide II, installé
le 10 septembre à Manhattan, a été directement piloté
par Cheney en prévision du chaos du 11/09 qu’il préparait.
4°) Je prouverai qu’un certain nombre d’officiels de la ville
de New York City, dont le maire Rudolph Guilani, se sont rendu compte pendant
20 minutes que le vol 175 visait Manhattan.
Ils n’ont rien fait pour ordonner l’évacuation ou avertir
les occupants du Word Trader Center. Seul un officier militaire a quitté
son poste pour appeler en privé son frère qui travaillait au WTC,
le sommant de sortir au plus vite.
5°) Je prouverai également que les gouvernements israéliens
et britanniques ont agi en tant qu’alliés au plus haut niveau du
gouvernement américain pour aider à la préparation et très
probablement, à l’exécution des attaques du 11/09.
Tous ces éléments sont présentés et documentés
dans mon livre "Franchir le Rubicon" qui prouve que Georges
Bush, Dick Cheney, Donald Rumsfeld, Condi Rice, le Général Ralph
Eberhart, le Général Meyers, le Directeur du FBI Robert Muller,
John Ashcroft et Georges Tenet ont menti au peuple américain.
Le mobile des attaques du 11 septembre 2001 : gérer le pic maximal du
pétrole
Le pic du pétrole n’est un secret pour personne.
Le pétrole et le gaz naturel sont indispensables à notre mode
de vie. Le monde consomme dix calories d’énergie d’hydrocarbure
pour chaque calorie de nourriture mangée. Tous les engrais commerciaux
sont faits à partir du gaz naturel. Tous les pesticides sont faits à
partir du pétrole. Toutes les irrigations, labourages, moissons et transports
sont accomplis par l’électricité produite par des machines
à hydrocarbures ou gaz naturel. Il y a entre 600 et 700 millions de véhicules
à essence sur la planète et la demande augmente de manière
exponentielle, particulièrement en Chine.
J’ai suivi deux conférences internationales au sujet du pic maximal
de pétrole et de ses implications pour notre civilisation : une à
Paris en 2003 et l’autre à Berlin, cette année. Depuis,
la grande presse anglo-saxonne n’a cessé de publier des articles
sur la fin de l’ère du pétrole ("La fin du pétrole
économique" - National Geographic juin 2004, "Que
faire quand le pétrole ne sera plus là ?" - BBC 22 avril
2004, "Adios pétrole économique" - Interpress
News Agency 27 avril 2004, "G7, le prix du pétrole menace l’économie
mondiale" - Moscow Times 26/04/04, "La crise mondiale du
pétrole surgit" - Jane 21/04/04, "USA, obtenir le
pétrole mondial" - Focus de la Politique étrangère,
janvier 2004, "Manquons-nous de pétrole ?" - ABC News
du 11/02/04, "Sang, Argent et pétrole" - US News du
18/08/03, Wall Street Journal US du 22/03/04, "Contrôle du pétrole"
- Washington Post du 14/11/03, "La fin de l’ère du
pétrole" - Économist du 23/10/03, etc).
De grands gisements de pétrole sont sur le déclin depuis 1962.
Une étude publiée dans la Petroleum Review suggère
que la production ne pourra pas suivre la demande d’ici 2007. L’étude
est un aperçu des méga projets visant à produire plus de
100.000 barils de pétrole par jour. La planète consomme un milliard
de barils de pétrole tous les onze jours et demi ; or les découvertes
de grands champs pétrolifères sont en nette diminution. En 2000,
il y eu 16 découvertes ; en 2001, 8 découvertes, en 2002, seulement
3, en 2003 aucune. Environ le tiers de la production de pétrole dans
le monde provient de champs en baisse, avec un taux de déclin global
d’environ 4%. En conséquence, la capacité globale de production
se contracte d’un peu plus de 1 million de barils par jour chaque année.
Les nouvelles productions sont la seule chose compensant ce déclin. A
partir de 2007 ce déclin sera compensé par de nouveaux projets
de production mais à consommation égale ; or la consommation augmente
et la demande commencera alors à être supérieure à
l’offre.
En prenant le pétrole de l’Irak et en contrôlant
l’Afghanistan le gouvernement US pense pouvoir retarder les effets du
pic du pétrole pour les États-Unis et assurer ainsi son hégémonie
sur le reste du monde qui manquera alors de pétrole. Tel est le mobile
du crime du 11 Septembre 2001.
La cinquième révolution
Charles Galton Darwin déclarait en 1952 : "La cinquième
révolution viendra lorsque nous aurons épuisé les stocks
de charbon et de pétrole qui s’étaient accumulés
dans la terre pendant des centaines de millions d’années…
Il faut espérer que d’autres sources d’énergies auront
été développées… Mais sans en considérer
le détail, il y aura de profonds changements dans notre manière
de vivre… Qu’un produit de substitution commode pour remplacer les
carburants actuels soit trouvé ou non, il ne peut exister aucun doute
qu’il y aura de grandes modifications dans les façons de vivre.
Ce changement peut juste s’appeler une révolution mais elle différera
de toutes les précédentes. Il n’y a guère de probabilités
qu’elle mène à une augmentation de la population mais plutôt
à l’inverse".
Dans "Franchir le Rubicon" j’expliquerai comment et
pourquoi le système économique actuel du monde s’accélère,
décline et dégénère dans des proportions inimaginables.
Tout ceci, pour moi, a commencé il y a 27 ans quand, en tant que jeune
policier, j’ai découvert que la CIA était lourdement impliquée
dans le trafic de drogue. J’ai déjà prouvé tout cela
en utilisant des enregistrements d’auditions au Sénat et des documents
de la CIA elle-même. Un des facteurs essentiel de la suprématie
économique américaine fut le trafic de drogue. Tous les ans près
de 660 milliards de dollars de narco-profits ont alimenté les marchés
financiers et les institutions des États-Unis.
Outre le trafic de drogue qui alimente États et Institutions de nombreux
pays, nous menons une guerre perdue d’avance. L’ensemble de l’économie
mondiale mise sur une croissance infinie dans un monde de ressources finies.
Ce manque de réalisme global nous mène à une crise généralisée
mettant en péril l’humanité même. Les solutions actuelles
de guerres permanentes pour maintenir la croissance ne préparent qu’une
chute encore plus brutale et plus définitive.
Franchir le Rubicon
À la fin d’une convention constitutionnelle, Benjamin Franklin
fut interrogé sur le type de gouvernement qu’il souhaitait pour
le pays. Il a répondu : "Une République, si vous pouvez
la garder".
En 49 avant Jésus Christ, Jules César, auréolé d’une
récente victoire en Italie centrale a ordonné à ses légions
de traverser un petit ruisseau appelé le Rubicon. En vertu des lois de
la République romaine, on ne permettait pas à l’armée
d’entrer dans la capitale. Quand Jules César a franchi le Rubicon,
la République romaine est morte et l'empire romain est né. Notre
tâche, si notre civilisation humaine veut survivre, n’est pas de
garder notre République mais de la régénérer.
Extraits choisis traduits du discours du journaliste et conférencier
Michael C. Ruppert pour le Commonwealth Club à San Francisco le 31 août
2004 .
Source : http://www.fromthewilderness.com
Traduction de Frédéric Morin – http://www.morpheus.fr
A lire sur le site Politique de Vie
L'article de Christian Cotten "Guerre, mode d'emploi" paru le 21 septembre 2001 et qui est aujourd'hui très largement confirmé par les propos de Michaël C. Ruppert.
Ainsi que notre pétition "Faire comparaître Georges W. Bush devant la Cour Pénale Internationale de La Haye pour crime contre l'humanité" lancée le 11 septembre 2002 qui reste complètement d'actualité pour soutenir le travail des démocrates américains : les victimes du 11/O9 réussiront sans doute à faire avancer ce projet et ont donc besoin d'un maximum de soutiens.