Accueil du site Politique de Vie

 

Quand la justice grenobloise protège fraternellement un escroc à particule et ses complices : une lettre de Liliane Pichenot-Portehaut au citoyen-magistrat Alain Uran

 

Madame Liliane Pichenot/Portehaut

236 Chemin du Mollard
38660 – Le Touvet
Tél. : 06 67 64 17 72
Fax : 04 76 08 44 91
Email : [email protected]

 

À M. le Président de la Cour d’Appel Commerciale de Grenoble

À l’attention de M. Uran

Affaire : Portehaut / C. Galouzeau de Villepin… and Co

Le 17 Janvier 2009

Monsieur le Président,

Suite au jugement que vous avez rendu en date du 20 Mars 2008 - RG 06/00367 - les avoués de mes adversaires, dont l’un me taxe de « procédurière d’habitude », cherchent également par leurs rappels, à me taxer.

Effectivement ils veulent faire exécuter votre décision ci-dessus référencée.

Rappelons les faits.

Un escroc du nom de Hugues Galouzeau de Villepin a fait appel pour la 2ème fois de la condamnation qu’il a eu en 1ère instance de nous indemniser : pour la seconde fois il gagne, après 10 ans de procédures et après  :

Un notaire du nom de Maître Cach, officier ministériel :

Un liquidateur du nom de Maître Bermond :

Vous reconnaissez vous-même par votre jugement, que je « suis bien fondée à avoir des griefs contre Maître Bermond ».

Enfin, un commissaire aux comptes, à qui mon ex mari a dû payer ses « bons et loyaux services » aura dans l’affaire certifié un faux bilan et sera tout autant complice,.

Mais, alors que vous aviez toutes les preuves de mes affirmations exposées ici, par votre dernière décision judiciaire, vous me condamnez et condamnez mon ex-mari à payer à chacun de ces délinquants tant une indemnité de 2 000 Euros, que les dépens de cette procédure d’appel que leurs avoués respectifs nous demandent de régler.

Je suis, Monsieur le Président, de la génération, comme vous je crois, qui a connu Michel Polnareff dévoilant son anatomie postérieure sur des affiches parisiennes.

Dans ce contexte, je m’interroge ainsi aujourd’hui, au vu de tant d’impostures judiciaires et cette dernière tentative de spoliation à mon encontre : ne devrais-je pas pour ma part concocter, en hommage au grand show de la magistrature, une affiche médiatique dévoilant également ma nudité postérieure, pour montrer comment la « Justice » locale a réussi à me « mettre à poil » en pratiquant des actes si souvent qualifiés par ailleurs de « contre-nature » ?

Ou bien alors, dois-je vous demander, à défaut de me faire saisir, de saisir vous-même le fond de solidarité de cette magistrature grenobloise, puisque solidaires vous êtes tous, ou bien encore vos compagnies  d’assurance, pour régler toutes nos dettes si « artistiquement » fabriquées, comme le faisaient les maçons du temps des cathédrales ?

J’hésite… mais pour ma part je n’ai plus rien que vous puissiez désormais me prendre et surtout pas ma dignité de FeMme !

Laissant à votre initiative et à celles de vos confrères, « le choix des armes », dans l’attente d’une quelconque réponse en langue de bois habituelle,

je vous prie de croire, Monsieur le Président, en l’expression de ma considération et de recevoir mes meilleurs vœux pour l’année 2009 : nous rendre Justice ? Peut-être…

 

Liliane Pichenot-Portehaut

 

PS : Pour information complémentaire, et puisque « procédurière d’habitude » je serais, suite à votre jugement dernier, j’ai déposé une plainte aux motifs sus visés à l’encontre de ces protagonistes : elle ferait actuellement, parait-il, l’objet d’une enquête du Parquet. J’apprécierai en conséquence qu’à minima, le résultat de cette enquête puisse être connu ainsi que les éventuelles poursuites, le pénal tenant parfois encore le civil en l’état.

 

Accueil du site Politique de Vie