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9 mai 2004


Communiqué de Politique de Vie – reproduction vivement encouragée


Sécurité Sociale et Système de Soins : réforme ou rupture ?


Vers l'euthanasie d'un système fou, ruiné, dangereux et moribond


Auriez-vous envie d'acheter une "assurance-mort ? Pourtant, chaque jour, nous payons par notre travail une "assurance-maladie". Ce système-là ne nous préserve d'aucune maladie, bien au contraire, il en crée. Le Ministère de la Santé est en réalité un Ministère de la Maladie qui organise et gère le marché de l'exploitation de la souffrance. Quantité d'acteurs et d'organisations tirent profits du marché de la maladie. Nous avons besoin d'un système équitable de Vie et de soutien de la Santé, totalement novateur dans ses mécanismes de financement et qui respecte toutes les médecines. Inventons et décidons ensemble, en nous libérant de l'emprise des prédateurs des cartels chimico-pharmaceutiques et de leurs représentants médicaux, médiatiques et pseudo-scientifiques : les solutions justes sont à notre portée.


Désormais, l'accès aux médecines qui préviennent la maladie, nourrissent notre système immunitaire, soutiennent nos énergies, accompagnent puissamment nos guérisons, l'accès aux médecines féminines, dites douces, alternatives, non-conventionnelles, naturelles etc, est réservé aux plus riches, par l'argent et par la culture libérée des mensonges médiatiques dominants.

Dans le même temps, le gouffre d'une Sécurité Sociale ingouvernable s'étend à l'infini, à mesure que l'argent file par des tuyaux obscurs vers les caisses de l'État, les organisations syndicales et, bien entendu, les investisseurs internationaux de l'industrie chimico-pharmaceutique.

La confusion la plus totale règne. La Sécurité Sociale Française a perdu son monopole avec l'Europe et continue à faire comme si rien n'avait changé. Les mutuelles se battent entre elles, avec l'État ou la Sécurité Sociale. Les médecins vaccinalistes, représentants de commerce des multinationales des Cartels Financiers Pétrole / Chimie / Pharmacie, continuent à empoisonner les enfants, tandis que de plus en plus de patients, de médecins et de responsables du système de soins savent que 50 à 80% des produits de l'industrie pharmaceutique sont inutiles et/ou dangereux.

Dans le même temps, les Inquisiteurs et les Cloportes chassent ou tuent les guérisseurs et les savants libres (Beljanski, Le Ribault et tant d'autres, contraints de quitter la France) qui inventent ou redécouvrent les produits les plus proches de la nature, qui soutiennent la vie sans lui nuire et prennent en compte les lois fondamentales du vivant.

D'aucuns hurlent à la sauvegarde de la Sécurité Sociale.

Certainement, non, merci.

Les usagers de plus en plus nombreux des médecines féminines ne se battront pas pour sauver la Sécurité Sociale.


Nous ferons bien au contraire tout le possible pour qu'elle meure au plus tôt, c'est devenu le principal système d'organisation du marché de la maladie, non au profit de notre santé mais à celui des prédateurs.

Il nous faut développer un Nouveau Marché de Développement Durable pour la Santé et de la Vie.

C'est la direction totalement opposée à celle dans laquelle est engagée la Sécurité Sociale et l'organisation actuelle du système de soins.

Ce système n'est plus réformable, la confusion, la ruine, les conflits indémêlables sont bien trop intenses.

Comme les personnes, les systèmes collectifs dépérissent et meurent, après rémissions et soubresauts. Une réponse à une situation donnée ne peut pas être forcément encore valable cinquante ans plus tard. C'est tout le paradigme fondamental de notre système de santé qui doit être renouvelé, repensé de fond en comble. Ceci n'est pas une réforme, c'est une rupture radicale. C'est à dire, une mort, pour laisser place au nouveau. Une mort, pour construire ensuite librement, dans la créativité démocratique, la naissance d'un système radicalement inconnu pour le moment.

Il va nous falloir aider nos gouvernants à accompagner l'euthanasie de la Sécurité Sociale.
Quant un système est en complète faillite, la seule chose à faire est de le mettre en liquidation.

Assumons, en respectant les personnes.

Tout en sachant que la mise en liquidation de la Sécurité Sociale ne fera que précéder celle de la VIème République : le régime politique actuel est en encéphalogramme plat. Les élites ne pensent plus, seuls les cerveaux reptiliens et les instincts de survie ont le contrôle de la tête et accroissent leurs violences.


Le corps social, quant à lui, a une fracture qui s'élargit chaque jour et le pronostic de mort s'alourdit chaque heure. L'énergie fuit de partout et dessèche les artères, quand la gangrène gagne les extrêmités, en cette époque où nous nous étiolons de manquer de liquidités monétaires…

Quant aux odeurs, les poubelles de la République débordent.


Quelques pistes de réflexion créative pour le futur.


1. Un rééquilibrage radical entre les deux médecines et un retour aux souverainetés individuelles et démocratiques de proximité.


La "médecine masculine", financière, allopathique, chirurgicale, guerrière, pharmaco-chimique… remplit des fonctions utiles pour nous réparer dans l'urgence ou intervenir dans certains cas de maladies particulièrement lourdes.


Mais cette médecine-là tue, aussi : vaccins inutiles et dangereux, sang empoisonné, maladies nosocomiales, empoisonnements multiples des pollutions chimiques environnementales et des effets secondaires nocifs des "médicaments", opérations inutiles mais rentables, dénigrement de nos cultures traditionnelles de santé au quotidien…

Or, la médecine masculine tue là précisément où de multiples médecines innovantes offrent une perspective non pas de lutte contre la maladie mais de soutien de la vie : produits et procédures de soutien de l'énergie vitale et du système immunitaire naturel, nourritures naturelles des cellules : vitamines, oligo-éléments, minéraux…

L'accès à la culture des médecines naturelles, la "médecine féminine" et à la Nouvelle Pharmacopée qui la manifeste - doit être ouvert à tous et pas seulement aux plus privilégiés, comme c'est le cas actuellement.

Et nous devons cesser d'accepter les mensonges et les manipulations médiatiques des informations scientifiques : l'industrie chimique et ses prolongements pharmaceutiques contribuent activement à détruire notre santé en nous empoisonnant à petit feu : un symptôme isolé, un médicament agressif pour tuer les méchantes bêtes, quelques effets secondaires gênants, un nouveau médicament pour gérer les effets secondaires et ainsi de suite…

Une part de la science médicale est devenue folle
et fait consommer aux Français trois fois plus de médicaments que la plupart des autres pays européens ; le virus VIH n'a toujours pas été identifié et isolé réellement au regard des critères scientifiques habituels et l'on nous vend des millions de boites pour tuer un virus fantasmatique, magnifique opération marketing à l'échelle de la planète…

Les arnaques médicales, pseudo-scientifiques mais réellement commerciales sont innombrables : les citoyens les plus conscients ne veulent plus de ces pollutions-là.

D'où :


2. Le libre choix thérapeutique et la souveraineté de chacun sur son corps et sa conscience.


La santé, c'est une affaire de dialogue de soi avec soi, accompagné et soutenu par de multiples compétences : du magnétisme aux antibiotiques naturels, des transes méditatives aux granules homéopathiques prescrites par un médecin libre et acupuncteur, de la chiropractie aux Fleurs de Bach, du psychothérapeute-analyste au yoga… les voies de l'apprentissage de la santé et de la prévention des maladies sont en réalité innombrables et toutes concourent à la Vie.

Il serait donc justifié, comme cela se pratique dans plusieurs pays européens, que des ateliers de méditation soient tout autant remboursés que des hormones pour ménopause…

Des investisseurs subtils ne s'y trompent pas, qui commencent à se désengager de l'industrie pharmaceutique lourde pour aller soutenir le Nouveau Marché de Développement Durable que constitue celui des Produits de Santé et de Vie

Les ruptures, là encore, seront difficiles : l'industrie pharmaceutique française, dont nous sommes si fiers va devoir se reconvertir, tout simplement parce que nous ne voudrons plus acheter bon nombre de leurs poisons vendus en boites de médicaments…

Peut-être les laboratoires pourront-ils se reconvertir dans l'accompagnement du développement de l'agriculture biologique ?


3. De multiples mutuelles de proximité, créatives, démocratiques et souveraines :

tribales, professionnelles, régionales, ethnico-spirituelles, syndicales… avec un système de solidarité nationale intermutualiste, avec le libre choix souverain par chacun de sa mutuelle et un financement simple et unique, à savoir…

un chèque "mutuelle" remis à chaque citoyen, assis sur une TVA Sociale, avec une gestion collective des budgets santé au niveau des régions strictement indépendante des laboratoires pharmaceutiques.


TVA Sociale ou TVA–Santé : un tel prélèvement sur le chiffre d'affaires des entreprises permet tout autant de faire payer les robots et automates que les personnes : d'où un bénéfice direct pour l'emploi, qui cesse ainsi d'être toujours plus cher qu'un automate. Les compétences sont là, pour calculer et gérer un tel projet.



4. Des médecins et autres professionnels de santé
rémunérés à hauteur de l'investissement-formation qu'ils ont fait, non plus à l'acte mais en fonction de l'état de santé des populations qu'ils aident…

Une rupture radicale avec les systèmes de rémunération actuelles, dont tout reste à décider démocratiquement et souverainement au sein de mutuelles de petite taille et à l'écoute active des citoyens : les solutions existent, il nous suffit de choisir.


5. Des laboratoires de recherche souverains
et libérés des pressions des cartels industriels, financés sur fonds collectifs et sous contrôle démocratique.


À propos, avez-vous remarqué que c'est le même ministre qui, en 94, lançait les campagnes inutiles, coûteuses et dangereuses de vaccination contre l'hépatite B, avec ces vaccins-poisons qui détruisent quantités de vie,

et qui, aujourd'hui, est chargé de réformer la Sécurité Sociale ?

J'ai beaucoup de mal à faire confiance à cet homme-là. Ces vaccinations abusives de trente millions de Français ont coûté plus de vingt milliards de francs. Où est l'erreur ?


6. Des industriels créatifs de petite taille sous contrôle de scientifiques indépendants des financiers
, soutenus et accompagnés au niveau régional et quelques grands laboratoires industriels qui enrichissent leurs actionnaires à mesure de la baisse de leur chiffre d'affaires et de l'augmentation du niveau de santé de la population : les experts-comptables et les patrons vont devoir devenir très créatifs.


7. Des hôpitaux accueillants et prospères, gérés au plus près des populations par les Régions et les Mutuelles, avec un rôle central aux équipes mixtes de ville : généralistes, spécialistes, paramédicaux, guérisseurs et thérapeutes non-médecins.


La Sécurité Sociale va mourir. Elle agonise.

L'inconscient collectif en a pris la décision inéluctable.


Que fleurissent cent mille mutuelles tribales et solidaires orientées vers la Santé et la Vie !

Que s'épanouissent cent mille chercheurs indépendants des cartels industriels !

Que s'enrichissent deux cent mille médecins libres et heureux d'accompagner la naissance, aider, sauver la vie, guérir, réparer, guider vers la santé puis, sereinement, vers une mort douce et respectueuse des personnes !




Christian Cotten
Psychosociologue, psychothérapeute,
Président de Politique de Vie,
Membre de l'Association Internationale
des Amis de Loïc Le Ribault
Auteur de Mafia ou Démocratie,
Prophétie pour une VIème République
,
Louise Courteau Éditrice



Merci de transmettre ce texte le plus largement possible par envois postaux : aux élus locaux et parlementaires, aux dirigeants et salariés des Caisses Primaires d'Assurance Maladie, aux médecins et paramédicaux, aux syndicalistes, aux fonctionnaires du système de santé…


Version aisément imprimable, sous Word.doc, sur demande à : [email protected]

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